La loi “Delaporte-Vojetta” fait vaciller le monde des influenceurs français
“Je vais dire la vérité. Il y a des mois, je gagnais 35.000 à 40.000 euros, et après les polémiques, maintenant on est à des 5.000”, a déclaré Julia Paredes dans son émission “Baby Story”.
Un contexte tendu entre Booba et les influenceurs
Ce durcissement des règles a été amplifié par les accusations portées par le rappeur Booba. Ce dernier pointe du doigt les placements de produits omniprésents indécents de certains influenceurs qu’il a nommé les “influ-voleurs”.
La réaction de Julia Paredes face à ces accusations est empreinte de frustration : “Booba a dit ce que les gens pensaient tout bas. Franchement, il nous a tué le business.”
Les conséquences économiques de la loi
Les conséquences se font d’ores et déjà sentir, avec le départ progressif des influenceurs basés à Dubaï, un paradis fiscal qui, selon l’influenceuse, devient trop coûteux du fait de ce changement de législation. Elle témoigne : “Au fur et à mesure, il y en a qui partent. Parce que la vie ici, il faut l’assumer”.
Dans ce contexte tendu, Julia Paredes tente de faire tomber les préjugés qui pèsent sur les influenceurs vivant à Dubaï, et insiste sur le fait qu’ils payent pour leurs propres accouchements, contrairement à la croyance populaire.
Cette crise ne fait que commencer, et il est encore difficile de mesurer l’impact réel de cette loi sur la profession d’influenceur.
Note : Cette information provient des déclarations de Julia Paredes, star de téléréalité et influenceuse référente. Celle-ci a révélé dans une interview l’impact de la loi “Delaporte-Vojetta” sur ses revenus. La loi vise à encadrer le placement de produit intempestif, et elle a été mise à l’honneur suite à l’intervention du rappeur Booba.
Le rappeur Booba, instigateur du changement
D’après Julia Paredes, c’est Booba lui-même qui a mis en avant le placement de produit excessif pratiqué par certains influenceurs. Son engagement virulent aurait contribué à faire aboutir la loi “Delaporte-Vojetta”, célèbre pour avoir perturbé les affaires des instagrameurs.
Le flux des influenceurs à Dubaï ralenti
Paredes évoque également une évolution concernant l’installation des affamés de followers à Dubaï. Par le passé, cet émirat attirait comme des mouches sucrées ces derniers, aspirant à une vie de rêve. Aujourd’hui, la vie à Dubaï devient plus difficile à soutenir financièrement, provoquant le départ de certains de ces influenceurs.
Un soutien limité des marques françaises
En outre, la fameuse Julia Paredes critique le manque de soutien de la part des marques françaises, réticentes à s’associer à ces influenceurs exilés. La communauté digitale semble indéniablement touchée par cette nouvelle réalité et attend une résolution de la situation.
Notre avis
Face à cette situation, nous ne pouvons qu’exprimer notre inquiétude. Certes, le cadre législatif en matière de marketing d’influence nécessitait une régulation. Néanmoins, la mise en application drastique de la loi “Delaporte-Vojetta” nous apparaît préjudiciable aux acteurs du milieu qui l’utilisent avec raison et mesure.
Il est important de noter que le placement de produit, lorsqu’il est maîtrisé, est une stratégie marketing efficace qui permet de générer des revenus aux influenceurs et d’exposer les produits des marques auprès d’une audience ciblée. Hélas, cette nouvelle loi, et plus encore les polémiques générées par Booba, ont créé un climat de discrédit autour de cette pratique.
Nous espérons que l’application de cette loi saura évoluer dans le temps, afin de valoriser le marketing d’influence responsable plutôt que de le pénaliser dans sa totalité. Seul l’avenir nous dira si les influenceurs comme Julia Paredes pourront retrouver la prospérité d’antan.
À retenir : comment la loi “Delaporte-Vojetta” impacte les influenceurs
💼 L’instauration de la loi a engendré une baisse drastique des revenus des influenceurs français.
🎤 Booba a joué un rôle majeur en alimentant les débats sur le placement de produit excessif.
🌴 L’attraction de l’émirat de Dubaï s’est vue ralentie pour la communauté des influenceurs français.
💰 Le soutien des marques françaises envers ces derniers a connu des baisses, réduisant davantage leurs sources de revenus.
Conclusion
L’instauration de la loi “Delaporte-Vojetta” a bouleversé le monde de l’influence digitale. Entre revenue en chute libre, départ massif de Dubaï et diminution drastique du support des marques françaises, ce secteur se trouve dans une délicate position. C’est donc dans un contexte de méfiance et d’incertitude que ces influenceurs doivent aujourd’hui naviguer.